African Security Sector Network (ASSN)

The African Security Sector Network (ASSN) is a pan-African network of experts and organisations working in the area of Security Sector Reform (SSR). Founded in 2003, the network is headquartered in Accra, Ghana, with regional hubs in Addis Ababa, Johannesburg and Nairobi.

ASSN exists to facilitate progress towards the achievement of effective and democratically governed security sectors across Africa. It pursues this mission by working to strengthen the capacities of African governments, national security institutions, parliaments, intergovernmental organisations and civil society groups to undertake and own SSR programmes.  The organisation also strives to expand the concept of African SSR through sustained research, publication and training.

Telephone: +233-30-251-0515
Email: info@africansecuritynetwork.org
27 Kofi Annan Avenue
North Legon, P.O. Box AF 2457 – Adenta
Accra
Greater Accra Region
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Policy and Research Papers

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ASSN Newsletter July 2012

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African Security Sector Network (ASSN) Quarterly | June 2015

ASSN Quarterly is published by the African Security Sector Network. It highlights the activities of the network, as well as other developments in the fields of Security and Justice Reform, both in Africa and beyond. 

In this June 2015 Special edition, a wide range of issues and developments are covered, such as: the hosting of the first Africa Forum on Security Sector Reform by the African Union in November 2014, the East Africa Energy Infrastructure Security Forum held in Nairobi, the wrapping up of the Project on Gender Mainstreaming in the Ghana Security Sector led by WIPSEN-Africa, and the publication of the Partner's Summary of the above-mentioned Africa Forum on SSR on Security Sector Reform trends and challenges in Africa.  

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Sécurité et sûreté à partir de la base: une gouvernance de la sécurité hybride

Ce document de réflexion élaboré par Niagalé Bagayoko pour le Laboratoire d’apprentissage sur la gouvernance et la réforme du secteur de la sécurité en Afrique porte sur les implications de la sécurité hybride pour la réforme du secteur de la sécurité (RSS). L’auteur présente l’impact que les institutions qui opèrent parallèlement ou au sein des institutions politiques formelles peuvent avoir sur la RSS, et explique ensuite qu’il est nécessaire d’identifier les combinaisons complexes de réseaux, d’acteurs et de processus formels et informels qui forment des « contextes sécuritaires hybrides ».

Afin de mieux comprendre ces acteurs et leurs interactions et interactions, l’auteur propose différents points d’entrée : cartographier les acteurs et normes, solidarités et réseaux informels dans le secteur de la sécurité ; renforcer les capacités des acteurs informels pour faire en sorte qu’ils puissent soutenir plutôt qu’entraver les processus RSS ; contribuer à fonder empiriquement les programmes et politiques ; et contribuer à la conception de mécanismes de surveillance et de processus de suivi et d’évaluation.

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ASSN Quarterly Newsletter Nr. 6 January 2013

ASSN Quarterly is published by the African Security Sector Network. It highlights the activities of the network, as well as other developments in the fields of Security and Justice Reform, both in Africa and beyond.

Below are some of the highlights in this edition:

  • The African Union Launches a Programme to Build its Security Sector Reform (SSR) Capacity in partnership with the European Union, the United Nations and the ASSN
  • A Stakeholders' Meeting on Lessons Learned in Kenyan Police Reforms, organised in Nairobi by the ASSN's Regional Hub for East Africa and the Great Lakes Region
  • A Roundtable on Security Sector Expenditure Reviews, organised by the World Bank and the International Security Sector Advisory Team (ISSAT)
  • Southern Africa Launches a Revised Strategic Plan on Defence and Security
  • Papua New Guinea Develops a National Security Policy (NSP)
  • Various updates about the Security and Justice Sector-related activities of individual members of the ASSN network, as well as the inauguration of the ASSN's new Interim Executive Committee and profiles of some of the ASSN's newest members 
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ASSN Quarterly Newsletter of the African Security Sector Network July 2013

Welcome to yet another edition of the ASSN newsletter, this one marking ten years of the organisation's existence. The ASSN was founded in 2003 to promote the harmonisation of efforts of African organisations and institutions involved in Security Sector Reform, Transformation and Governance. These objectives are as urgent as ever. Political events across the continent suggest that the role of security actors remains a challenge. Most recently, events in Egypt with their ripple effect across North Africa and the Middle East have the world guessing about the eventual outcome. International interventions have had to be undertaken in addressing the spread of violence in the Sahel region, and in the eastern part of the Democratic Republic of Congo (DRC). At the same time, more optimistically, a pattern of citizens insisting on the rule of law, and settling political contestation through the ballot is emerging. The holding of elections in Mali, Guinea, and Zimbabwe over the coming weeks and months is a sign that violence is rejected by a critical mass as the answer to Africa's political problems. Integral to this wave of thinking is deep consideration about the principles that ought to govern the relationship between the security sector and the citizens of a democratic country.

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La protection d’un espace public démocratique : l’évolution des relations civilo-militaires

Ce document de réflexion, élaboré par Boubacar N’Diaye et Eboe Hutchful (ASSN) pour le Laboratoire d’apprentissage sur la gouvernance et la réforme du secteur de la sécurité en Afrique, décrit les implications et les défis dans l’amélioration des relations civilo-militaires pour une meilleure protection d’un espace public démocratique. Ce document explique comment, depuis la fin de la guerre froide, le domaine académique des relations civilo-militaires (RCM) a connu un déclin alors que les analyses sur la RSS ont augmenté. Si les RCM n’ont pas assez tenu compte des micro-politiques au sein des institutions de sécurité, cette réflexion met en avant le fait que la RSS n’a pas forcément abouti à des approches intégrées. La RSS est ainsi particulièrement mise au défi dans ce secteur, avec des faiblesses dans les contrôles budgétaires et les dépenses ainsi que de la corruption dans le secteur de la sécurité. De plus, il y à des risques de revers dans les relations civilo-militaires actuelles, comme cela a récemment été démontré en Ouganda et au Congo-Brazzaville, où la police, l’armée et les forces paramilitaires ont été appelées afin de violemment réprimer des manifestations. Pour entrer en action dans l’amélioration des RCM en Afrique, les auteurs notent qu’il est important d’identifier les états où, sous la direction d’une nouvelle génération de dirigeants militaires, de réels efforts ont déjà été menés et  il existe une volonté de confier de nouveaux rôles et responsabilités de surveillance aux institutions civiles.

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Les transformations de la prestation de services de sécurité : les prestataires de sécurité à but lucratif et la privatisation de la sécurité

Ce document de réflexion élaboré par Alan Bryden pour le Laboratoire d’apprentissage sur la gouvernance et la réforme du secteur de la sécurité en Afrique porte sur les prestataires de sécurité à but lucratif et la privatisation de la sécurité. Le document souligne le manque de connaissances et de compréhension de l’ampleur du secteur de la sécurité privée sur le continent africain ainsi que de ses activités et implications pour la sécurité de l’État et de ses citoyens. Le secteur de la sécurité privée et le manque de compréhension du phénomène peuvent affecter la réforme du secteur de la sécurité (RSS) à plusieurs égards : l’État peut avoir une vision et une connaissance incomplète des prestataires de sécurité sur son territoire national, il peut y avoir une confusion des rôles et des responsabilités entre la sécurité publique et privée, certains peuvent se permettre une meilleure sécurité alors que d’autres subiront une insécurité plus grande, et la privatisation de la sécurité reste une question délaissée dans les programmes RSS.

L’auteur propose plusieurs points d’entrée concernant la privatisation de la sécurité et la recherche sur le sujet. Améliorer les capacités africaines en matière de recherche peut permettre de récolter des données factuelles et ainsi d’augmenter la visibilité du phénomène, et élaborer les cadres juridiques et politiques nécessaires pour renforcer le contrôle et la reddition des comptes peut permettre un meilleur encadrement des prestataires de sécurité privés. L’auteur propose aussi de soutenir le renforcement des capacités de gestion et de contrôle du secteur de la sécurité, de renforcer les capacités de la société civile et de mobiliser les initiatives internationales pour créer une dynamique de changement.

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Security Sector Governance and Reform in Africa | Background Paper

Concept note Learning Lab ASSN OSF DCAF
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Outdated legal frameworks, under-capacitated parliaments, and submissive judicial authorities fail to provide the oversight, transparency or accountability that is required to protect human rights and uphold the rule of law. 

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What is difficult about SSR in Africa? On one level, the framing conditions are undoubtedly challenging. Change of the kind that SSR aims for is measured in decades – even generations – rather than the months or years that measure national political cycles or donor programmes. Moreover, in most contexts the resources to support transformational change have also been scarce, whether human, material, technical or financial. On a more fundamental level, SSR is highly political and context-specific. If it is treated as a technical process abstracted from national political, security, socio-economic and cultural realities, it will not succeed.

There are also undoubted weaknesses and gaps in current SSR approaches. Different understandings of what SSR involves and who it concerns have led to flawed interventions that bred mistrust and suspicion, including between national and international understandings of reform.

The fact remains that freer and fairer democratic societies require more accountable and more effective security provision. In spite of the factors that limit progress in SSR, experience has shown that important progress can be made when internal and external support for reform align at opportune moments for change. New legal architecture for state security provision, fairer and more inclusive security recruitment, broader-based access to justice, more efficient management and oversight, and increased public scrutiny of security affairs are examples of reform that mark valuable progress in security governance. Moreover, progress can materialise in unexpected and intangible forms; thus, some of the most catalytic changes in people’s experiences of security have flowed from apparently subjective shifts in attitudes towards things like more inclusive security policy-making, greater sensitivity to human rights in security provision, or a strengthened resolve among overseers to make the most of their legal authority.

The ‘Learning Lab on Security Sector Governance and Reform in Africa’ drew on the experience of academics, researchers, policy makers and practitioners in this field in order to explore these challenges and identify ways to move forward in spite of them. To support these reflections, this Background Paper provides a baseline understanding of SSG/R concepts, policies and practice. It then considers key challenges for SSR in Africa before assessing programming gaps and potential entry points for engagement. This Background Paper is complemented by six Think Pieces, which intended to help shape discussion during the different sessions of the Learning Lab.

Access all material related to the ‘Learning Lab on Security Sector Governance and Reform in Africa’ to find out more.

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Vers un agenda régional pour la gouvernance et la réforme du secteur de la sécurité: Opportunités et défis pour l'Union africaine et la CEDEAO

Ce document de réflexion, élaboré par Ornella Moderan (DCAF) pour le Laboratoire d’apprentissage sur la gouvernance et la réforme du secteur de la sécurité en Afrique, décrit les opportunités et les défis auxquels sont confrontés l’Union Africaine (UA) et la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) dans le développement d’un agenda régional pour la gouvernance et la réforme du secteur de la sécurité. Si des avancées importantes sont à noter avec l’adoption par l’UA en 2013 d’un Cadre d’Orientation sur la Réforme du Secteur de la Sécurité ainsi que le travail de la CEDAO pour le développement d’un cadre commun, la transposition de concepts théoriques dans la pratique reste un défi. Fournir aux Etats membres un appui multidimensionnel soulève également un certain nombre de questions relatives à leurs propres mandats et capacités. Les implications pour la RSS sont soulignées dans ce document et varient de la contextualisation du discours international sur la RSS aux processus nationaux et soutien régional. Omella Moderan articule plusieurs points d’entrée pour l’action, qui vont de l’encouragement des capacités régionales pour la mise en œuvre de la politique au renforcement de la coordination UA-CEDAO.

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ASSN Quarterly Newsletter October 2012

This issue marks one year since the launch of The ASSN Quarterly. The inaugural edition was published in October 2011. Four editions have since followed, and this anniversary issue is dedicated to profiling the work of the Next Generation of African Security and Justice Reform (S&JR) scholars and practitioners. These are young Africans from across the continent who are already making a contribution in the pursuit of African participation and ownership of S&JR programmes on the continent. This edition also highlights the importance of leadership to development in Peace, Security and Justice by highlighting the contribution of the African Leadership Centre (ALC), a core institutional member of the ASSN that has been the foremost breeding ground for this Next Generation of S&JR practitioners and thinkers.

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Surveillance et contrôle démocratiques et civils

Ce document de réflexion, élaboré par Sandy Africa (ASSN) pour le Laboratoire d’apprentissage sur la gouvernance et la réforme du secteur de la sécurité en Afrique, explique que la surveillance et le contrôle démocratiques et civils sont nécessaires, mais non exclusifs, pour assurer des services de sécurité responsables et légitimes. La surveillance démocratique et civile recouvre le mandat confié à un organe d’exiger d’une autre entité qu’elle rende compte de ses actions. L’auteur met en avant le fait que dans des pays en situations de conflit armé, le secteur de la sécurité fait l’objet d’une surveillance démocratique et civile faible, voire inexistante. En cas de cessation des hostilités, une fenêtre d’opportunité peut s’ouvrir, mais même dans ce cas de figure les défis immédiats sont le maintien et le renforcement de la paix. Par contre, si la situation politique connaît des changements favorables et décisifs, alors la possibilité de mettre en place un contrôle civil effectif devient nettement plus favorable. 

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Encourager un débat ouvert: le rôle fondamental de la société civile et des médias dans la bonne gouvernance de la sécurité

Ce document de réflexion, élaboré par Fairlie Chappuis (DCAF) pour le Laboratoire d’apprentissage sur la gouvernance et la réforme du secteur de la sécurité en Afrique, vise à encourager un débat ouvert sur le rôle fondamental de la société civile et des médias dans la bonne gouvernance de la sécurité ainsi que les défis auxquels ils font face. La société civile, sous-entendu tous les groupes qui s’impliquent de manière volontaire dans une action collective dans l’intérêt public, a un rôle essentiel à jouer afin de faire en sorte que le secteur de la sécurité fasse preuve de responsabilité et de transparence et qu’il réponde aux préoccupations de la population. Ce document met en lumière plusieurs facteurs communs aux divers contextes africains qui entravent la capacité de la société civile et des médias à jouer leur rôle de levier. S’ensuit divers points d’entrée pour des actions qui peuvent aider à aligner les valeurs portées par la société civile et les médias aux principes de la gouvernance démocratique de la sécurité, du respect des droits de l’homme et de l’état de droit.

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SSR needs assessment of Somaliland CSOs

This study report provides an analysis and evaluation of the recent needs assessment of Somaliland Civil Society Organizations /CSOs/ on their engagement with SSR. The study also discusses Somaliland security actors and the ongoing SSR processes. In doing this, it will analyze the specific capacities and gaps of leading CSOs in SSR programming and policy development endeavors. On this note the study report indicates the areas of external support required, as well as the shortcomings to be addressed. Prominent among the study findings is the need for security literacy in Somaliland, the vital role CSOs can play which in turn requires training on SSR to few interested CSOs.

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